Portrait de Martine Morel, Pricing Manager
Découvrez le portrait de Martine Morel, Pricing Manager au sein de département Product Western Europe.
Sur quelles missions travailles-tu en ce moment ?
Mon travail principal consiste à organiser toute la chaine financière d’une offre de vente constituée de différents produits et de la maintenir au bon tarif au fil du temps en veillant à sa profitabilité. Cela commence par retranscrire l’offre imaginée par le Product Manager dans le langage propre à nos outils informatiques.
Il faut que ce soit compréhensible par les clients et bien sûr par nos équipes sur le bon de commande. Et, très important, savoir la facturer automatiquement. Les offres comme le RCS ou WhatsApp avec les échanges conversationnels ou les particularités des chatbots sont des challenges car ils viennent bousculer les mécaniques habituelles du SMS. J’aime les challenges, il faut de l’imagination et c’est motivant !
Quelle est ta plus grande fierté dans ton travail ?
Au fil des années, on peut s’enliser dans une routine. Ce n’est pas mon cas. J’ai une curiosité naturelle et l’envie d’apprendre ainsi que le goût du travail en équipe. C’est un vrai moteur à motivation.
J’aime contribuer aux nouveaux enjeux, solutionner les problématiques, partager. Mes collègues savent qu’ils peuvent compter sur moi.
Quel personnage de cinéma pourrait exercer ton métier et pourquoi ?
Quelque fois je me vois comme Sherlock Holmes à enquêter pour trouver l’origine d’une anomalie et croiser toutes les données dans tous les sens. D’autre fois, ce serait Géo-Trouve-tout 😊 quand il faut trouver l’astuce pour avancer et faciliter le travail des équipes.
Raconte-nous une anecdote amusante sur ton métier !
J’ai toujours grand plaisir à évoquer mon arrivée chez Netsize, il y a 15 ans, l’accueil formidable qui m’a été réservé par une équipe de jeunes, presque tous de l’âge de mes 2 fils 😃, tous parlant très bien anglais après un Erasmus à l’étranger.
Je découvrais une start-up, le monde des télécoms plein de rebondissements…et le travail en anglais ! Je parlais un anglais très scolaire, il fallait discuter avec les collègues des filiales étrangères, tous avec des accents différents.
Je me rappelle d’une réunion avec des anglais au bel accent cockney et je remercie encore mes collègues français pour leur soutien, et leur traduction ! Hahaha j’étais sonnée par le cocktail de mots techniques, l’anglais et l’accent. Je n’avais strictement rien compris.
Leur soutien ne s’est jamais démenti au fil du temps. Aujourd’hui, mes petits-enfants ont le même âge que leurs enfants, on parle de la rentrée des classes, c’est amusant, et je peux désormais même discuter en anglais.