Portrait d’Adev Hoorpah, Key Account Manager
Découvrez le portrait d'Adev Hoorpah, Key Account Manager au sein de LINK Mobility France.
Sur quelles missions travailles tu en ce moment ?
En tant que KAM (Key Account Manager), ma principale mission consiste à gérer mes grands comptes afin d’une part, d’éviter de les perdre, et d’autre part d’essayer de développer notre offre avec eux. La deuxième partie de ma mission est la partie la plus intéressante. En effet il faut déceler des opportunités au sein des autres services de mes clients. Pour y arriver, j’instaure un vrai climat de confiance avec mes interlocuteurs afin que ces derniers soient mes « sponsors » au sein de leurs entreprises.
Quelle est ta plus grande fierté dans ton travail ?
Ma plus grande fierté dans mon travail est le fait de ne pas être reconnu comme un commercial par la plupart de mes clients. Je suis pour mes interlocuteurs un référant ou expert des solutions de communication. Cette position est plutôt confortable pour moi car je suis sollicité pour des conseils et demandes d’informations très en amont des projets. Notre domaine est tellement complexe et les contraintes tellement variées que mes clients s’appuient beaucoup sur mon expertise pour mener à bien leurs projets. Bien évidemment je ne suis pas tout seul face à mes clients, j’ai la chance d’être entouré par une formidable équipe très professionnelle et très réactive.
Quel est le meilleur moment que tu as vécu au travail ?
Le meilleur moment vécu que j’aurais toujours en souvenir est le jour où j’ai dû choisir entre deux offres d’emplois d’entreprises différentes pour ma carrière professionnelle. J’étais en dernière année d’école d’ingénieur et je cumulais deux emplois à temps partiel dans ces deux entreprises différentes. Six mois avant la fin de mes études, à quelques jours d’intervalle, ces deux entreprises m’ont chacune fait une offre pour m’embaucher après mes études. Avec le recul, je me dis que j’ai fait le bon choix.
Quelle est ta devise dans la vie ?
Ma devise dans la vie est « Si je commence quelque chose il faut que j’aille au bout, sinon ce n’est pas la peine de commencer ». En d’autres termes quand je me lance dans un projet, je me donne les moyens d’arriver au bout pour réussir. La devise que je ne ferai pas mienne, ce serait : « L’important c’est de participer ». Désolé M. Pierre de Coubertin, cette devise ne correspond pas à mon tempérament.